Nous avons voulu marquer le coup et interpeller l’Etat contre la logique comptable des suppressions de postes dans l’enseignement. Il aurait fallu renoncer à 120 suppressions dans le premier degré, 800 dans les collèges et 235 dans les lycées pour simplement maintenir le nombre d’élèves par classe à la rentrée 2010.
Nous demandons solennellement la mise en place d’un moratoire contre les supressions de postes d’enseignants.
A Villeneuve d’Ascq, nous connaissons trop bien les problèmes de classes surchargées et d’accueil insuffisant en petites sections de maternelle.
Le rendez-vous est pris. Il aura lieu tous les lundi matins, place de la République à Lille.